| Alfred de Musset - 1841 - Страниц: 456
...J'étais seul , courbé sur mon lit. J'y regardais une place chérie , Tiède encor d'un baiser brûlant; Et je songeais comme la femme oublie , Et je sentais un lambeau de ma vie Qui se déchirait lentement. Je rassemblais des lettres de la veille, Des cheveux , des débris d'amour. Tout... | |
| Alfred de Musset - 1849 - Страниц: 428
...J'étais seul, courbé sur mon lit. J'y regardais une place chérie, Tiède encor d'un baiser brûlant; Et je songeais comme la femme oublie , Et je sentais un lambeau de ma vie Qui se déchirait lentement. Je rassemblais des lettres de la veille , Des cheveux , des débris d'amour.... | |
| Alfred de Musset - 1852 - Страниц: 306
...J'étais seul, courbé sur mon lit. J'y regardais une place chérie, Tiède encor d'un baiser brûlant; Et je songeais comme la femme oublie, Et je sentais un lambeau de ma vie Qui se déchirait lentement Je rassemblais des lettres de la veille, Des cheveux, des débris d'amour. Tout... | |
| Alfred de Musset - 1859 - Страниц: 340
...J'étais seul, courbé sur mon lit. J'y regardais une place chérie, Tiède cncor d'un baiser brûlant; Et je songeais comme la femme oublie, Et je sentais un lambeau de ma vie, Qui se déchirait lentement. Je rassemblais des lettres de la veille, Des cheveux, des débris d'amour. Tout... | |
| Alfred de Musset - 1866 - Страниц: 394
...J'étais seul, courbé sur mon lit. J'y regardais une place chérie, Tiède encor d'un baiser brûlant ; Et je songeais comme la femme oublie, Et je sentais un lambeau de ma vie Je rassemblais des lettres de la veille, Des cheveux, des débris d'amour. Tout ce passé me criait... | |
| Alfred de Musset - 1867 - Страниц: 718
...,J'étais seul, courbé sur mon lit. J'y regardais une place chérie, Tiède encor d'un baiser brûlant; Et je songeais comme la femme oublie, Et je sentais un lambeau de ma vie, Qui se déchirait lentement. Je rassemblais des lettres de la veille, Des cheveux, des débris d'amour. Tout... | |
| 1873 - Страниц: 590
...intelligence this for the tall stranger, whose name was Malcolm Forde. CHAPTER V. ' Et je songeaU commc la femme oublie, Et je sentais un lambeau de ma vie Qui se d£chirait lentement.' MR. FORDE had come up from Scotland on the tenth of July* intending to surprise... | |
| Alfred de Musset - 1876 - Страниц: 352
...J'étais seul, courbé sur mon lit. J'y regardais une place chérie, Tiede encor d'un baiser brûlant; Et je songeais comme la femme oublie, Et je sentais un lambeau de ma vie, Qui se déchirait lentement. Je rassemblais des lettres de la veille, Des cheveux, des débris d'amour. Tout... | |
| James Parton - 1877 - Страниц: 554
...par une triste nuit. L'aile des vents battait à ma fenêtre ; Tiède encor d'un baiser brûlant ; Et je songeais comme la femme oublie, Et je sentais un lambeau de ma vie, Qui se déchirait lentement. Je rassemblais des lettres de la veille, Des cheveux, des débris d'amour. Tout... | |
| James Parton - 1877 - Страниц: 548
...J'étais seul, courbé sur mon lit. J'y regardais une place chérie, Tiède encor d'un baiser brûlant ; Et je songeais comme la femme oublie, Et je sentais un lambeau de ma vie, Qui se déchirait lentement. Je rassemblais des lettres de la veille, Des cheveux, des débris d'amour. Tout... | |
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