J'en ai aimé une depuis quatorze ans jusqu'à vingt sans le lui dire, sans lui (sic) toucher; et j'ai été près de trois ans ensuite sans sentir mon sexe. J'ai cru un moment que je mourrais ainsi; j'en remerciais le ciel. The Quarterly Review - Page 321edited by - 1914Full view - About this book
| Gustave Flaubert - 1891 - 404 pages
...quatorze ans jusqu'à vingt sans le lui dire, sans la toucher; et j'ai été près de trois ans ensuite sans sentir mon sexe. J'ai cru un moment que je mourrais ainsi, j'en remerciais le Ciel. — * Tu es La seule à qui j'aie osé vouloir plaire et peut-être la seule à qui j'aie plu. Merci,... | |
| Gustave Flaubert - 1926 - 500 pages
...ans jusqu'à vingt sans le lui dire, sans lui (sic) toucher; et j'ai été près de trois ans ensuite sans sentir mon sexe. J'ai cru un moment que je mourrais ainsi; j'en remerciais le ciel. Je voudrais n'avoir ni corps ni cœur, ou plutôt je voudrais être crevé, car la mine Ïie je fais... | |
| Gustave Flaubert - 1922 - 568 pages
...quatorze ans jusqu'à vingt sans le lui dire, sans la toucher ; et j'ai été près de trois ans ensuite sans sentir mon sexe. J'ai cru un moment que je mourrais ainsi, j'en remerciais le Ciel. [ ] Tu es la seule à qui j'aie osé vouloir plaire et peut-être la seule à qui j'ai plu. Merci,... | |
| Gustave Flaubert - 1926 - 506 pages
...ans jusqu'à vingt sans le lui dire, sans lui (sic) toucher; et j'ai été près de trois ans ensuite sans sentir mon sexe. J'ai cru un moment que je mourrais ainsi; j'en remerciais le ciel. Je voudrais n'avoir ni corps ni cœur, ou plutôt je voudrais être crevé, car la mine que je fais... | |
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