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membres étrangers dûment autorisés. La Société possède un Secrétaire perpétuel.

Avant d'aborder l'histoire de la Société d'agriculture que Broussonet nous retracera dans ses Comptes rendus annuels, groupons, dans quelques vues générales, les mouvements divers que les circonstances économiques et l'état de la science produisaient dans les milieux agricoles : ce sera résumer l'administration de Bertier de Sauvigny par son action sur la Société de la Généralité de Paris, par son heureuse alliance avec Broussonet.

La statistique était, depuis quelques années, en honneur dans les travaux de l'Intendance de Paris. Bertier, par les exemples et les traditions de sa famille, en était arrivé à reconnaître la nécessité de créer une statistique agricole et industrielle de sa Généralité. Le Contrôleur général Orry, son parent, avait ordonné, au milieu du XVIIIe siècle, un travail de ce genre. Le Mémoire sur la Généralité de Paris, préparé en 1700, pour l'instruction du duc de Bourgogne, nous en a laissé la trace. Le premier Bertier de Sauvigny (JeanLouis) avait également ordonné des études au point de vue de la taille et des améliorations de l'impôt. Il mérita des félicitations. Jean-Louis-Bénigne reprit les vues de ses parents et trouva, dans un camarade, qui était l'ami de Broussonet, Olivier, un collaborateur capable et dévoué.

Olivier et Broussonet avaient étudié la médecine à l'école de Montpellier; ils avaient à peu près le même âge et devaient marcher, dans la vie, à côté l'un de l'autre. Ce fut le 1er janvier 1786, que Bertier

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