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etgealent Davis da marquis Turgot sor 5 salte de Fotele 16; on voyait clairemont Voe de Du Pont of de Lavoisier qui n'aba. son plan d'attirerà eux la direction des As mais or ráléchit sans dont» (1

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andr au Gouvernement de se dejaget tervale. On adopta une résolution q nure à ne pomt froisser le Ministre et les opinions, en respectant au fond du Règlement; c'était de demander e many port de l'article 16; la Société aurait été grlo. risée, le sp'il s'agirait de remplacer un membre de to on des huit, à présenter une liste de trois

parmi lesquels le Contrôleur general lai un successeur (1).

ande de la Société fut présentée, mais vend nt n'a révélé l'accueil qu'elle recut; Lavaste" - Du Pont veiliaicut pour maintenir une décision qu' elait Fange de leur conté directeur, d'ailleurs, 1événements qui se précipiterent ne laissèrent au GonVernem m of aucune occasion de consulter le Comité d ́s tous Is membres, sauf Tillet qui mount

o Tar de 1791, existaient à l'époque où 1: oprimée.

Theatre modert réveilla les rivalités. Les amis de for er de Savigny dans le même temps, firent u. tour & lensif, pour pszer l'échec que le Controls enéral avait con ribs à leur faire subir l'année prédente dans l'enseigner at de l'École d'Alfort. SepImnt Yvart, fermer J 1 ferme, dite de la Société

1 Tbes rationale H 1501.

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d'agriculture à Maisonville fut nommé correspondant le 31 juillet en même temps que vingt nouveaux associés étrangers.

On se rappelle que l'École vétérinaire d'Alfort avait été dotée, en 1783, par Bertier de Sauvigny, de plusieurs chaires qui complétaient heureusement l'enseignement scientifique donné dans cet établissement : chaire d'anatomie comparée, chaire d'histoire naturelle et d'agriculture, chaire de physiologie, de chimie et de physique. Vicq d'Azyr, Daubenton et Fourcroy en avaient été nommés les titulaires (1).

La chaire d'économie rurale, tenue par Daubenton, avec Broussonet pour adjoint, était le seul établissement d'enseignement agricole qui existât en France, depuis que l'École d'agriculture, fondée en 1771, sur le domaine d'Anel, près Compiègne, par Sarcey de Sutières, avait été fermée, en 1781, après la chute de Bertin. Notons qu'en Italie, en Allemagne, en Danemark et en Suède, l'enseignement de l'agriculture était donné, depuis longtemps, dans des établissements spéciaux.

Le parti de Chabert et des vétérinaires, soutenu par le Contrôle général, avait, en 1787, enlevé à l'Intendant de Paris la direction d'Alfort et supprimé, sous prétexte ou par raison d'économie, les chaires de Daubenton, de Vicq d'Azyr et de Fourcroy. Au cours de sa session d'été de 1788, la Société, préoccupée de cette situation, demanda au Ministre que la chaire de Daubenton fût rétablie et proposa de l'installer dans le lieu de ses séances. Cette réclamation ne fut point écoutée.

(1) RAILLIET. Histoire d'Alfort.

TOME I.

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La restauration de l'enseignement d'économie rurale eût été un succès pour Bertier de Sauvigny qui l'avait constitué, mais il s'agissait, avant tout, de détruire l'influence de l'Intendant de Paris. Il faut avouer aussi que le Trésor n'avait pas d'argent.

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